[Etablissement d'un phare sur le cap Spartel]
30 juin 1852
Pendant cette séance, la Commission prend connaissance d'un rapport du consul à Tanger préconisant que les nations européennes prennent l'initiative de la construction d'un phare sur la rive marocaine du détroit de Gibraltar. Elle propose la construction d'un phare fortifié, craignant l'hostilité des populations locales.
Le projet prendra corps 8 ans plus tard, après le naufrage en 1860 de la frégate-école Doña Isabel au large de Tanger qui entraîne dans la mort 250 jeunes cadets de la Marine brésilienne. «Au nom des nations chrétiennes» et aux frais du sultan, La France est chargée de construire un feu à l’entrée du détroit de Gibraltar. Allumé en 1864, le phare du cap Spartel, près de Tanger, est une fantaisie orientalisante de Léonce Reynaud, construite par le conducteur des Ponts et Chaussées Léon Jacquet.
Annonce de nouveaux feux et Affaires Étrangères, Phare du cap Spartel (p.63) ; Affaires Étrangères, Phare du cap Spartel (p. 64, 65) ; Affaires Étrangères, Phare du cap Spartel et Feu de port de Sauzon (Port Philippe) (p. 66) ; Feu de port de Sauzon (Port
34,5 cm x 21, 5 cm
p. 63, 64, 65, 66, 67
Bon état
Cote : Archives nationales 20090296/10
http://bibliothequedesphares.fr/registres/18520630_Spartel
20090296/10
FRAN111_20090296_10
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